Chapitre 1 : le commencement

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Salut, cher lecteur en manque d'aventures ! Si tu es ici, c'est bien pour lire une histoire non ? Je vais donc te raconter la mienne. Mais attention ! En t'aventurant dans cette histoire, tu vas passer par toutes les émotions. Tristesse, joie, anxiété, pression, peur, tout y est. Mon histoire est pleine d'aventures, de fantastique, et de grandes amitiés. Et lorsque tu commencera à lire mon histoire, tu ne pourras plus t'arrêter.

Donc es-tu sur de vouloir continuer ?

Alors allons-y !

Pour débuter, je me présente. Je m'appelle Assia, j'ai 16 ans, et j'habite dans le nord de la France, à la frontière d'une immense forêt. J'ai de bonnes notes au lycée, de bons amis, j'adore organiser des fêtes, enfin voilà, je suis une fille plus que normale.

Tout commença un jour de juillet, pendant les grandes vacances d'été, lorsque j'avais organisée une fête pour mes amis, vers 21 heures.

Ça n'allait pas être une grande fête, puisque j'avait invité seulement 3 amis, mais ils étaient les amis avec qui je m'entendais le mieux, et mes parents étaient partis en voyages jusqu'à demain soir, nous avions donc toute la maison pour nous.

Alors que la fête battait son plein, Amélie proposa un jeu : action/vérité.

Amélie est une amie que je connais depuis cinq ans. C'est l'amie avec laquelle je suis le plus proche, et je passe le plus claire partie de mon temps en sa compagnie.

Tout le monde acquiassa de la tête positivement.

Nous jouons très souvent à ce jeu tous ensembles, et c'était à chaque fois une vraie partie de plaisir.

Nous nous asseyions alors tous par terre pour former un rond.

-Qui commence ? Dit océane.

Océane est une amie qu'Amélie et moi avons rencontrés en 3eme. C'est une fille adorable mais qui a un tempérament très impulsif, il ne faut donc jamais lui chercher la petite bête.

-Je me propose volontaire ! Dit Yohann avec détermination.

Yohann, lui est un garçon que nous avons rencontrées en même temps qu'Océane.
Il est du genre à tout le temps blaguer, et à tout le temps nous faire rigoler, mais, tout comme Océane, il ne faut pas l'embêter, parce qu'il serait prêt à nous faire la tête durant des heures !
Et il a aussi tendance à être une vraie chochotte.

-Ok, action ou vérité ?
-Action.
-Es-tu capable d'aller te balader dans la forêt... Tout de suite ? Proposais-je après quelques temps de réflexions.

-Tu es folle ? C'est dangereux la nuit, on pourrait ce perdre ! Me dit-il avec de gros yeux.

-Tu es une vraie mauviette ! Se moqua Océane. Moi j'aurais été capable.

-Mais il va commencer à faire noir, et si jamais on ce perd ? Dit-il en pleurnichant.

-Je vais souvent dans la forêt, et je ne me suis jamais perdue, je la connais comme ma poche. Dis-je avec détermination.

-Chiche on y va ? J'aime avoir peur. Continua Amélie.

-Vas-y, moi aussi j'ai envie d'y aller. On y va ?

-Ok ! Répondis-je en me levant.

Amélie et Océane sautèrent et coururent en direction de la porte d'entrée. Je les suivis, et Yohann ce leva doucement, je crois qu'il va encore nous bouder.

Lorsque nous étions tous arrivés dehors, nous nous dirigèrent vers l'arrière de la maison d'un pat décidé, là où ce trouvait le commencement de la forêt.

Le soleil était en train de ce coucher, et il n'allait pas tarder à faire bien noir. Je ne m'étais jamais aventurée dans la forêt de nuit, mais il faut bien un commencement à tout non ?

Je marchais devant mes amis en direction de la barrière que nous devions traverser pour accéder à la forêt. Cet barière séparait les maisons de la forêt sur plus de 5 kilomètre. C'était plus prudent pour les familles avec enfants, pour ne pas que ceux-ci ne ce perdent.

Je posa ma main sur la poignée du portail. Était-ce vraiment prudent d'y aller ? J'hésite un moment, puis j'ouvris doucement la porte.

De géants arbres bien feuillus apparurent devant nous. Je regarda à travers ceux-ci. La lumière du soleil n'y entrait quasiment plus.

-Attendez moi ici, je vais chercher une lampe de poche.

Ils ne répondirent pas, ils étaient tournés vers la forêt, en essayant de distinguer l'intérieur.

Je courus en direction de l'atelier dans le jardin de la maison, et chercha à la vas-vite une lampe. Il fesait de plus en plus noir, et j'eus du mal à trouver la lampe de poche que mon père avait soigneusement rangé dans une des armoires de l'atelier.

Au bout de 10 minutes à chercher en vain, je la trouva, et je couru en direction de la où ce trouvait mes amis.

-On peut y aller maintenant ? Me demanda Océane.

-Oui, allons-y !

-Vous êtes folles ! On y voit presque plus rien ! Si jamais on ce perd, ne me dites pas que je ne vous aurez pas prévenues ! Gronda Yohann.

#Amélie

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